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20 octobre 2006 5 20 /10 /octobre /2006 16:31
Vous trouverez ci-joint un article très instructif sur la position des socialistes européens vis à vis du TCE. Le risque demeurre trés grand de nous voir imposer , d'une manière ou d'une autre, tout ou partie de ce texte.
La position des socialistes français me semble effectivement "fragile" : une fois de retour au pouvoir je les imagine aisément se rallier aux positions des socialistes européens....
 
D'où l'importance d'avoir un un candidat qui défende clairement le "non" de 2007, et donc de ne pas considérer le résultat du référundum comme étant "derrière nous" (comme nous y invitent cetains socialistes)
.
Wilfried Pennetier

publié par André Baup Mairie d'Albi 16, rue de l'Hôtel de Ville 81023 Albi cedex 9. andre.baup@free.fr

 


 
 
 
 
 
Les socialistes européens exhument le traité
A Nantes, les présidents des groupes parlementaires PS le jugeaient toujours d'actualité.
Par Jean-Dominique MERCHET
QUOTIDIEN : Vendredi 20 octobre 2006 - 06:00
Nantes envoyé spécial
 
Caduc ou pas caduc ? Les socialistes européens se sont affrontés, hier à Nantes, pour savoir si le traité constitutionnel européen, rejeté en 2005 par les électeurs français, restait toujours d'actualité. D'un côté, les Français pensent que non et qu'il faut passer à autre chose. De l'autre, tous les invités à cette réunion des présidents de groupes parlementaires socialistes, à laquelle ni les Britanniques, souvent eurosceptiques, ni les Hollandais, dont les électeurs ont également voté non, ne participaient.
 
Chez les socialistes français, quel qu'ait été leur choix lors du référendum, l'unanimité est totale. «Il me paraît nécessaire que nous prenions acte que le traité est caduc et que nous travaillions ensemble à une nouvelle approche», a lancé Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS à l'Assemblée, ajoutant qu' «il n'est pas possible de faire revoter nos concitoyens sur le même texte». 
 
Les socialistes des seize pays qui ont ratifié le texte ne l'entendent pas de cette oreille. «Dire que le traité est mort est très périlleux», a prévenu l'Allemand Jo Leinen. «Ceux qui ont dit oui sont bloqués par leur oui, comme la France est bloquée par son non», constatait le député luxembourgeois Ben Fayot, alors que l'Espagnol Carlos Carnero tonnait en direction des Français : «Vous ne pouvez pas faire que votre débat national s'impose à tous en Europe. Nous ne sommes plus dans les années 50 !» L'eurodéputée portugaise Edite Estrela affirmait même que «le contenu de la troisième partie du traité, c'est très important». Or, c'est précisément cette partie, consacrée aux politiques européennes, qui, en France, a fait l'objet des critiques les plus vives chez les nonistes. L'ancien conventionnel européen Robert Badinter a rappelé le contenu du dernier article du traité. Il prévoyait que le texte «entre en vigueur le 1er novembre 2006», dans dix jours... «Cela tombait le jour des morts», a lâché un député luxembourgeois.


http://www.liberation.fr/actualite/politiques/211882.FR.php
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